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Le nouveau Béné est arrivé
Avec « Le clandestin de Ré la Blanche », l’île de Ré devient une fois de plus avec ce nouvel opus le théâtre d’intrigues polardesques.
Après une enfance passée derrière les grands murs de l’Assistance publique dans le nord de la France, Maurice Foireux, dit Momo, a treize ans quand il est placé au haras de Roubiarol. Après s’être vengé du chef palefrenier Léon Portin, dont il était le souffre-douleur, Momo parvient, bien que boitant bas, à s’enfuir. Sans papier et sans argent, il rejoint le long défilé des gens qui fuient l’avancée des troupes allemandes. C’est l’exode. Le hasard fit qu’il rencontra sur la route le vieil autobus de l’Assistance avec une quarantaine de gamins emmenés par soeur Marie-Thérèse. C’est ainsi que Momo se retrouva dans l’île de Ré au préventorium Louise-de-Bettignies à Saint-Martin, où il passera deux années sans se soucier de la guerre avant l’arrivée des Allemands le 23 juin 1942. Un tournant dans sa vie. Rattrapé par la guerre et ses tourments, Momo va, tenté par les sirènes de la collaboration, se trouver mêlé à de petits trafics avec l’occupant. Par ailleurs, la fille dont il est secrètement amoureux est quant à elle amoureuse d’un Allemand. Éternel « clandestin de la vie », Momo reprendra alors ses pérégrinations qui le mèneront jusqu’au bout de sa destinée…
« Le clandestin de Ré la Blanche » de Robert Béné
Éditions De Borée – Mai 2012 – 280 pages – 12,90
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