Ile de Ré Galop, vecteur de promotion du territoire
Le rendez-vous annuel des souscripteurs et sympathisants de l’Ecurie de partage, Ile de Ré Galop, s’est tenu le 2 juillet, dans les installations de l’Ecurie du Batardeau, à Saint Clément des Baleines.
Pour cette deuxième réunion, la fréquentation ne s’est pas démentie, soit environ 150 personnes, malgré une météo un peu décourageante. Olivier Falorni, député de la circonscription récemment réélu, Lionel Quillet, président de la CdC, Michel Auclair, maire des Portes en Ré et Jean-Pierre Colombu, vice-président de France Galop, comme Gérard Hernandez, alias « Raymond », le parrain de l’écurie de partage, avaient répondu à l’invitation d’Ile de Ré Galop, témoignant ainsi leur intérêt et leur soutien à cette jeune initiative.
Cette édition 2017 était marquée par le partenariat avec Destination île de Ré, dont les stands faisaient la part belle aux produits locaux bien représentés avec Daniel Massé aux fourneaux.
« Des joies et des déceptions, comme dans la vie »
Avant le pique-nique, à l’heure des discours, Véronique Vigouroux, la gérante d’Ile de Ré Galop et initiatrice de cette écurie de partage n’a pas manqué de remercier tous ceux, décideurs et souscripteurs, qui l’ont suivie dans son projet de première écurie de ce type en France et a rappelé brièvement ce que fut l’année écoulée, avec ses joies et ses déceptions : la plaisante 2ème place de Lord of Gracie piloté par le jeune apprenti dans le Grand Prix de Royan et l’enthousiasme bruyant de la famille des supporters rétais, ce jour-là sur l’hippodrome, puis la victoire du cheval sur le prestigieux hippodrome de Chantilly enfin devenue réalité, ainsi que le premier emploi décroché par Damien, à l’issue de son apprentissage, sur la voie de réaliser son rêve d’enfant de devenir de jockey professionnel. Au registre des déceptions, il a bien fallu citer l’accident de Lord of Gracie, lors de sa dernière sortie, en mai, sur l’hippodrome du Pin au Haras, accident aux suites encore incertaines puisque le cheval est toujours en soins, confiné au boxe, mais garantie a été donnée que dans le pire des cas, s’il s’avérait plus sage d’arrêter la compétition, une solution de retraite paisible serait trouvée pour lui comme pour tous les pensionnaires de l’entraînement de Capucine Nicot.
« Un principe de territoire et de partage »
La gérante d’Ile de Ré Galop a évoqué l’idée de créer des écuries de partage de territoire – comme pour le rugby ou le foot – à l’image de cette première écurie de partage créée à l’Ile de Ré, pour aboutir, dans deux ans, à la finale d’un championnat à disputer sur l’Hippodrome de Longchamp… et de rêver et faire rêver…
« Imaginez, dans deux ans, on est à Longchamp et là, les 16 meilleures casaques sont au départ d’une course forcément inédite… Imaginez les tribunes… les gens viendront supporter leur territoire… Imaginez les équipes venant avec leurs produits du terroir… » Jean-Pierre Colombu qui représentait France Galop, a renchéri sur cette idée en citant une écurie de groupe anglaise qui regroupe quelques 2000 personnes ; il a dit son intérêt, son soutien et sa volonté de faciliter le projet de courses de territoires apporté par Véronique Vigouroux, en ce que France Galop est toujours en recherche de solutions et d’idées nouvelles pour regagner des enjeux au PMU de sorte que les courses hippiques en France retrouvent un avenir plus florissant.
Pour rejoindre la communauté des souscripteurs d’ILE DE RE GALOP
La deuxième page de l’aventure ILE DE RE GALOP s’ouvre maintenant avec le lancement d’une nouvelle souscription pour acquérir un nouveau cheval, « Une île, un rêve, un cheval… et tous les amoureux de l’île de Ré réunis derrière leur casaque », ainsi se présente la souscription sur le site internet où toutes informations peuvent être trouvées
www.iledere-galop.com
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